Approche

Approche

> Expertise

Cambium : n.m. Fine couche située entre l’écorce et le liber, responsable de la formation du bois, et permettant à l’arbre durant sa vie de s’adapter à la plupart des contraintes et variations de son environnement immédiat.

Atelier Cambium

Dirigée par Olivier Laurent, architecte, et Franck Ferrier, maître d’œuvre, l’équipe compte une vingtaine de collaborateurs aux profils variés.

Elle dispose d’un grand savoir-faire constructif, éprouvée par la pratique du projet en mission complète. Formée par les associés depuis plusieurs années, l’équipe a progressivement gagné en compétences et en niveau de responsabilité.

En 2022, l’équipe s’est structurée avec la nomination de trois directrices qui secondent Olivier Laurent et Franck Ferrier : Marine Pétré et Lola Bos, directrices d’agence et de projets, et Anne-Sophie Delaveau, directrice du développement et de la communication.

5 ans d’ancienneté moyenne, 36 ans d’âge moyen

L’équipe est organisée en deux pôles, l’un dédié à la conception, l’autre à l’exécution, chacun placé sous la responsabilité d’un des associés. Ces deux pôles s’appuient sur l’administration, la comptabilité et la communication, qui offrent un soutien transversal.

Procédant des expertises propres des associés, cette organisation a été décidée pour assurer une parfaite maîtrise du déroulement du projet, dans un souci de respect des intentions architecturales, du planning et du budget alloué.

Travaillant en synergie et en feedback, les deux pôles rassemblent des profils spécialisés :

  • 3 directeurs de projet,
  • 6 chargés et assistants de projet,
  • 1 directeur de travaux,
  • 1 secrétariat technique.

L’équipe utilise le BIM comme méthode de travail pour l’ensemble de ses projets. Plusieurs sont actuellement développés au niveau BIM II en collaboration avec des consultants spécialisés.

> Engagement

Même s’il peut paraître à première vue ingrat, désuet ou trop complexe à transformer, le patrimoine moderne marque un temps de la ville et appartient à l’histoire personnelle de ses habitants. Sur un plan environnemental, son empreinte carbone est déjà réduite, les ressources et l’énergie nécessaires pour le construire ayant déjà été consommées, et sa conversion permet de lutter contre l’anthropisation des sols ; sans oublier que sa destruction créerait une quantité de déchets tandis qu’une reconstruction initierait un nouveau cycle de dépense d’énergie et de ressources. 

L’histoire architecturale européenne a souvent vu la ville se reconstruire sur elle-même, en préférant réutiliser plutôt que démolir et rebâtir à neuf. 

Réhabiliter, réemployer est toujours plus complexe que bâtir à neuf, mais particulièrement gratifiant à nos yeux car il mobilise un vaste panel de compétences allant de la vision politique, la planification stratégique ­– architecturale et programmatique, et un haut degré de compétences techniques.

Valoriser, réinventer, rendre résilient plutôt que démolir

> Sobriété

Cet engagement se traduit dans nos projets, dans nos méthodes de travail mais aussi dans notre vie quotidienne à l’agence car il nous semble indispensable de commencer par montrer l’exemple.

Rendre nos projets et nos pratiques les plus durables possibles : nous nous sommes fixé cette ambition depuis plusieurs années, par adhésion tant personnelle que collective, en lien avec la façon dont nous appréhendons notre métier et nos responsabilités. Nous croyons en effet qu’une approche responsable de l’environnement est un aspect essentiel de la bonne architecture.

Nous avons conscience que les objectifs de développement durable doivent être atteints en cohérence avec les impératifs du projet, qu’ils soient programmatiques, réglementaires ou économiques. Nous veillons donc constamment, dans l’ensemble de notre travail, à aider nos clients à limiter l’empreinte carbone du projet en tenant compte des ressources disponibles. À cette fin, nous faisons appel à des partenaires qui partagent et enrichissent cette vision et avec lesquels nous avons développé des relations de confiance et d’exigence.

4 leviers : valoriser l’existant, s’appuyer sur des labels, recourir à des matériaux vertueux, concevoir de façon bioclimatique

La pérennité d’un projet réside dans une conception simple, low-tech, robuste, anticipant la maintenance.